Le Think Tank, «SAint-Etienne, Génération Envie» par
la voix de son animateur, Lionel Boucher, apporte son soutien à Gaël Perdriau,
tête de liste UMP-UDI à Saint-Etienne.
Proche de l’action politique de Gilles Artigues, le
Think Tank « SAint-Etienne, Génération Envie » qui réunit des acteurs non
encartés politiquement a fait le choix de sortir de sa réserve :
« Notre laboratoire d’idées, a ces derniers mois
beaucoup réfléchi aux enjeux de territoire et au vivre ensemble, organisant des
rencontres autour de la culture, du sport, des auditions de personnalités
qualifiées sur le thème du design, des débats avec le monde économique et de
l’entreprise, avec des élus aussi, la dernière rencontre étant un dîner débat
sur les enjeux du territoire métropolitain.
Le fil d’Ariane qui a conduit nos travaux est le
constat d’une ville qui s’est assoupie par manque «d’envie». L’absence de
volontarisme politique, le peu d’ambition et les manquements de l’équipe
sortante notamment sur le terrain des idées, ont suffi à ce que les membres du
«S.A.G.E» sortent de la seule sphère de la pensée.
Nous avons par un travail long et méthodique
décortiqué les raisons de cette lente agonie que subit Saint-Etienne, depuis
les révoltions industrielles, jusqu’à la cité du design qui après un lancement
pertinent a marqué le pas. Nous avons essayé modestement de trouver non des
solutions, mais des pistes pour y remédier. Ce travail viendra donc sous la
forme d’une contribution, nourrir le projet des candidats du renouvellement.
Le premier débat sur France 3 ce week-end fut
éclairant quant à la distance et la différence de perception qu’ont les stéphanois
de l’action municipale et la satisfaction affichée de leur premier magistrat.
L’exemple le plus craint étant l’écart entre l’état du commerce intramuros et
de centre ville et le satisfecit du maire sortant.
Nous partageons l’approche de Gaël Perdriau sur le
fait que le maire sortant a abimé l’image de notre ville en courant les
plateaux de télévision pour faire de Saint-Etienne une ville toxique
financièrement. Nul besoin dans ces conditions de se demander comment être
attractifs aux yeux d’investisseurs.
Si notre approche des dossiers municipaux est dans la
modération elle se veut ferme sur la sécurité. Nous avons noté que le maire
sortant restait dans le dénie de réalité, comme sur la fiscalité pour laquelle
il n’avait que peu de considération pour les arguments de l’augmentation des
taxes foncières et d’habitations, qui ont grevé lourdement le budget des
stéphanois.
Par notre travail sur le thème de « l’Envie pour
Saint-Etienne », nous entendons proposer d’autres champs d’actions pour que les
stéphanois se sentent mieux dans leur ville et que ceux qui en sont partis
trouvent les opportunités et l’envie d’y revenir »