Le « S.A.G.E » s’engage !


Le Think Tank, «SAint-Etienne, Génération Envie» par la voix de son animateur, Lionel Boucher, apporte son soutien à Gaël Perdriau, tête de liste UMP-UDI à Saint-Etienne.

Proche de l’action politique de Gilles Artigues, le Think Tank « SAint-Etienne, Génération Envie » qui réunit des acteurs non encartés politiquement a fait le choix de sortir de sa réserve :

« Notre laboratoire d’idées, a ces derniers mois beaucoup réfléchi aux enjeux de territoire et au vivre ensemble, organisant des rencontres autour de la culture, du sport, des auditions de personnalités qualifiées sur le thème du design, des débats avec le monde économique et de l’entreprise, avec des élus aussi, la dernière rencontre étant un dîner débat sur les enjeux du territoire métropolitain.

Le fil d’Ariane qui a conduit nos travaux est le constat d’une ville qui s’est assoupie par manque «d’envie». L’absence de volontarisme politique, le peu d’ambition et les manquements de l’équipe sortante notamment sur le terrain des idées, ont suffi à ce que les membres du «S.A.G.E» sortent de la seule sphère de la pensée.

Nous avons par un travail long et méthodique décortiqué les raisons de cette lente agonie que subit Saint-Etienne, depuis les révoltions industrielles, jusqu’à la cité du design qui après un lancement pertinent a marqué le pas. Nous avons essayé modestement de trouver non des solutions, mais des pistes pour y remédier. Ce travail viendra donc sous la forme d’une contribution, nourrir le projet des candidats du renouvellement.

Le premier débat sur France 3 ce week-end fut éclairant quant à la distance et la différence de perception qu’ont les stéphanois de l’action municipale et la satisfaction affichée de leur premier magistrat. L’exemple le plus craint étant l’écart entre l’état du commerce intramuros et de centre ville et le satisfecit du maire sortant.

Nous partageons l’approche de Gaël Perdriau sur le fait que le maire sortant a abimé l’image de notre ville en courant les plateaux de télévision pour faire de Saint-Etienne une ville toxique financièrement. Nul besoin dans ces conditions de se demander comment être attractifs aux yeux d’investisseurs.

Si notre approche des dossiers municipaux est dans la modération elle se veut ferme sur la sécurité. Nous avons noté que le maire sortant restait dans le dénie de réalité, comme sur la fiscalité pour laquelle il n’avait que peu de considération pour les arguments de l’augmentation des taxes foncières et d’habitations, qui ont grevé lourdement le budget des stéphanois.

Par notre travail sur le thème de « l’Envie pour Saint-Etienne », nous entendons proposer d’autres champs d’actions pour que les stéphanois se sentent mieux dans leur ville et que ceux qui en sont partis trouvent les opportunités et l’envie d’y revenir »

Esquisse de victoires futures pour Saint-Etienne!


C’est en premier lieu à Maurice Vincent  et à son équipe que nous devons l’union du Centre et de la Droite à Saint-Etienne. Il faut l’en remercier !
Le constat d’une gestion aux antipodes de ce que nous voudrions pour notre ville, la lassitude de n’entendre parler de Saint-Etienne que comme une ville « toxique », le mal être des agents municipaux qui à chacune de nos rencontres appellent au secours, des politiques rigoristes plus que rigoureuses et le visage sombre que notre ville porte autant que ses habitants ... C’est cela qui a créé les conditions de l’union, attendue par les forces vives de notre territoire, très inquiètes que cette débâcle ne se poursuive.
C’est ensuite une question de volonté, celle d’un groupe d’hommes qui par delà leurs étiquettes ont placé l’intérêt de la ville au dessus des considérations politiques.  Ces hommes ont un visage, celui de l’unité et trois noms : Gilles Artigues, Gaël Perdriau et Georges Ziegler.
Réussissant là où d'autres ont si souvent trébuché, ils sont parvenus à force d’humilité à faire se rencontrer la petite histoire des hommes pour écrire l’Histoire : la grande, celle d’un territoire.
Deux jours, deux nuits: En ce week-end du 11 novembre, cela commence, samedi 10, par la défaite de l’ASSE face l’OL, volée par l’arbitrage, il faut bien se consoler... Un froid polaire, la perspective de se geler encore pour les dépôts de gerbe le lendemain et une rencontre à potron minet qui va s’avérer décisive. Entre le dimanche trois heures du matin à l’heure où blanchissent aussi les villes et le lundi midi, une solution est trouvée. Mardi 12 novembre une heure avant midi, une conférence de presse officialise notre union. La promesse de victoires futures peut enfin s'esquisser.
Je salue l’esprit d’abnégation que j’avais appelé de mes vœux, le respect mutuel pour y arriver.

Le préambule nécessaire étant posé, il nous faut maintenant travailler dur pour aller convaincre les Stéphanois.

Bien sur, Maurice Vincent va essayer de maquiller quelques socialistes en centristes, utiliser de grosses ficelles et de débaucher, ça et là, des esprits contrariés mais l’écume ne peut remplacer la vague. Le décor est posé ; une liste de Droite et du Centre, trois listes de gauche et une liste du Front National : 
Que la campagne commence !

Deux crocodiles males dans le même marigot !


L’union entre l’UDI et le Modem pourrait bien faire naître un grand parti au centre de l’échiquier politique Français. Les 35 000 militants du Mouvement Démocrate vont rejoindre les 50 000 adhérents de l’UDI pour faire de ce « mariage » un Mouvement équivalent aux grandes formations politiques.
Nul ne doute que derrière cette démarche, l’élection Présidentielle soit en ligne de mire. L’arrivée de François Bayrou à l’UDI, c’est la certitude de figurer à cette échéance majeure qui est l’unique motivation du Béarnais. Même si pour cela, il faudra aussi une primaire "du centre" avec comme à chaque fois la question de l’indépendance vis  a vis de l’UMP. Pour mémoire le dernier de notre mouvance politique à avoir été élu président de la République fut Valéry Giscard d'Estaing en 1974.
Sur le papier l’histoire commence donc bien. L’UDI devient grand et le Modem en profite pour récupérer un groupe parlementaire. Les échéances européennes seront les fonds baptismaux du dernier né, il est trop tard pour installer une marque nouvelle pour les élections municipales.
Le chemin n’est pourtant pas simple :
Jean Louis Borloo a déjà fort à faire pour convaincre les composantes (le Nouveau Centre, le Parti Radical, la Force Européenne Démocrate, l’Alliance Centriste …) d’accepter de déposer pavillons pour ne porter qu’un drapeau, accepteront-ils ce « beau père » encombrant ?
La question du leadership va naturellement se poser. Peut-il y avoir dans un mouvement politique deux patrons, deux crocodiles males dans le même marigot, deux détenteurs de la parole et surtout qui obtiendra le carnet de chèque ?
Autres difficultés, pour bien connaître ce mouvement pour lequel j’ai beaucoup donné, ayant fait le chemin du Modem à l’UDI, au lendemain de l’annonce du soutien de François Bayrou à François Hollande, nous avons laissé derrière nous, soit des hommes de pailles soit les défenseurs de la ligne d’union avec le PS. Ce retour dans le giron du centre droit, se peut-il dans  la douceur ?
Alors que les cadres Modem eux négocient, opportunément, une place sur les listes UDI aux élections municipales, que se passera t’il pour les militants en cas d’union avec l’UMP ?
Dans certaines villes, à l’image de Jean François MARTINS à Paris, seul conseiller Modem, qui a rejoint les rangs d’Anne Hidalgo, les cadres ont déjà finalisé les alliances avec les maires sortants Socialistes. Seront-ils mis en marge de cette nouvelle «Alternative» ? François Bayrou va t-il laisser se poursuivre les négociations à Dijon, à Clermont Ferrand, à Marseille où Jean Luc Benhamias est tenant de cette ligne d’union à Gauche ? Vont-ils créer un nouveau parti politique, eux aussi ?
Si l’intérêt de François Bayrou de rejoindre l’UDI est réel, si le gain pour l’UDI d’accueillir François Bayrou est vérifiable, il reste beaucoup de questions et il semble que les militants du Modem d’aujourd’hui ne soient à leur tour les petites pièces d’une dote qui ira dans la corbeille de la mariée et que la dragée risque d'être dure à avaler !

"Enjeux et perspectives pour Saint Étienne Métropole": Un dîner débat fondateur !


Notre rencontre de ce mardi, organisée par le club de réflexion SAGE, "Saint Étienne Génération Envie", sur le thème "enjeux et perspectives pour Saint Étienne Métropole" a tenu toutes ses promesses.

70 personnes étaient présentes à ce dîner débat, au restaurant "La platine" de la Cité du Design, une des réalisations de Saint Étienne Métropole à mettre au crédit de Michel Thiollière, tout comme le Zénith, la Cité Grüner, l'Eglise Le Corbusier ou Metrotech. À part le stade Geoffroy Guichard, quel sera le bilan de Maurice Vincent, en tant que Président de l'agglomération.

Le nouveau mode de scrutin de 2014 qui permettra aux électeurs de voter, sur un même bulletin, pour leurs représentants municipaux et communautaires, justifie à lui seul la nécessité de parler de l'agglomération, par respect pour les habitants de nos 45 communes. Il est indispensable que ce débat ne soit pas confisqué par des initiés. Les citoyens sont tout à fait aptes à analyser les enjeux du territoire.

La salle était d'ailleurs très représentative de ce qu'est l'agglomération aujourd'hui. Le S.A.G.E avait invité des maires, des conseillers communautaires actuels et anciens et des citoyens intéressés par le sujet.

Un micro trottoir a débuté la soirée, montrant tout le chemin qu'il restait à parcourir pour faire naître une conscience métropolitaine. 

Emmanuel Mandon, élu de Saint Chamond, expliqua comment était née cette coopération entre la ville centre et la couronne en rappelant la mémoire de personnalités comme Messieurs Chaboissier ou Mazoyer, pionniers de la démarche. J'ai souligné pour ma part combien il était important que ce moteur Stéphano couramiaud fonctionne bien pour la réussite de l'agglomération, comme d'ailleurs ça a toujours été le cas depuis la création de Saint Étienne Métropole. 

Denis Chambe, conseiller communautaire a traité des questions économiques en évoquant les évolutions de gouvernance attendues et Georges Ziegler, candidat UDI pour la Mairie de Saint Étienne a commenté les échecs de Maurice Vincent en matière d'implantations d'entreprises. Le tandem qu'il constitue avec Gilles Artigues, dans un partage des responsabilités allant dans le sens d'un non cumul des mandats et permettant une présence plus forte et toute nouvelle du Président de l'agglomération, a été plébiscité par les Maires qui ont souhaité intervenir comme Gilles Estable de Çaloire, Paul Celle de Villars ou Jean Michel Pauze de Saint Priest en Jarez.

Noël Paul, ancien vice président de Saint Étienne Métropole chargé de l'enseignement supérieur est revenu sur le manque d'ambition de Maurice Vincent en matière d'économie du savoir et Agnès Chanal, conseillère régionale, a fait une intervention sur l'une des compétences de l'agglomération la mieux identifiée : celle des transports.

Des candidats aux municipales dans plusieurs communes se sont également exprimés afin d'appeler de leurs vœux la mise en place d'un ambition projet d'agglomération comme Saïd Belaidi de Firminy, Christophe Bory de Fraisses, Denis Barriol de Genilac, Eric Berlivet de Roche la Molière, Christian Jaque Paoletti de Saint Genest Lerpt, Annie Baudoin de Saint Priest en Jarez, Edmond Hubé de Sorbiers et bien d'autres. Au total une vingtaine de communes représentées.

Gilles Artigues, candidat UDI à la Présidence de cette agglomération à donné le clap de fin de cette belle soirée et le coup d'envoi d'une belle aventure.

l'UDI comme une famille...


L’UDI est une famille nombreuse, et comme père de quatre enfants, je sais qu’il y a parfois des bambins turbulents, parce qu’ils ne trouvent pas leur place dans la fratrie.
C’est un peu ce qui se passe avec les représentants du micro parti Nouveau Centre à Saint-Etienne. 
Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que leurs représentants manquent à l’appel. Déjà en 2001, l’un d’entre eux avait fait le choix d’une autre liste que celle de son parti, sans résultat. 
Il est pourtant une réalité, dans notre démocratie, où les mouvements politiques jouent un rôle particulier. Si l’on n'accepte pas la décision des instances nationales, on doit partir. 
Aujourd’hui un enfant à quitté le nid, tel le fils prodigue sa place restera, puisque sans nul doute, il rejoint un partenaire de demain. 
Maintenant, il est une réalité qu’il nous faut à tous garder en mémoire : la politique est une aventure humaine où il n’y a pas de place pour les seules individualités. 
Il est aujourd’hui regrettable que d’aucun l’ait perdu de vue, mais la tempête limitée au verre d’eau ne fait pas beaucoup de vagues

A six mois des échéances municipales, par la voix de Lionel Boucher son animateur, le Think thank «Saint-Etienne, Génération Envie», tient à faire partager ses inquiétudes, quant à la manière dont se profilent les échéances municipales à Saint-Etienne.
L’amalgame et la facilité ne sauraient être notre façon de penser encore moins un modèle juste pour notre société. Si des propos inhabituels sont tenus par certains responsables politiques nationaux, nous ne voulons pas croire qu’il y ait ambigüité dans la Loire. Ce propos liminaire est nécessaire afin de rappeler que notre engagement de toujours pour Saint-Etienne se résume dans « le vivre ensemble » !
Nous devons inlassablement poursuivre le difficile chemin, en période de crise, pour montrer aux stéphanois que stigmatiser une catégorie de population ne règle pas la situation structurelle dans laquelle notre pays et notre ville est plongée. C'est  en rassemblant les bonnes volontés sûres de leurs valeurs et fortes de leurs convictions que nous saurons retrouver la confiance de ceux qui cherchent, par dépit, la facilité.
Intransigeant avec ceux qui transgressent les règles mais tendant la main au plus faible;
Redonnant à chacun les moyens de subsister, faire assistance sans tomber dans l'assistanat
Contribuer à l'effort sans spolier et donner l'envie et les moyens aux bonnes idées… Là est notre « ADN ».

A Saint-Etienne, le paysage politique, tel qu’il se présente fait apparaitre trois personnalités aux profils complémentaires pour animer la reconquête de Saint-Etienne et de son agglomération : Gilles Artigues, Gaël Perdriau et Georges Ziegler. Une possible complémentarité politique rassemblant la droite et le centre, marquant la connaissance fine des quartiers, du monde économique et le pari du renouvellement.
Cette chance, il faut la saisir! Personne ne comprendrait que l’union ne soit pas au rendez- vous ! Il est néanmoins évident que nul ne peut être méprisant ou méprisé. L’arrogant porterait devant l’histoire et les citoyens une lourde responsabilité.
C’est, de plus, un message d’implication qui est envoyé à François Rochebloine et Dino Cinieri, respectivement président départemental de l’UDI et de l’UMP. Une division dans la ville centre du département serait aussi leur échec.
Enfin, le SAGE se veut force de proposition et a élaboré un projet, autour de « l’envie » articulé dans trois directions que sont : La mécanique, pôle majeur de notre industrie. Le Design, fil d’Ariane entre notre passé avec Manufrance et notre devenir avec la cité du design. Et un grand principe: Rendre la ville à ses habitants et notamment aux familles.
Tempérance, réflexion, boîte à outils, c’est le rôle que jouera le S.A.G.E dans les prochains mois aux côtés de ceux qui dans l’union travailleront à la reconquête de Saint-Etienne.


Gender, la théorie du genre à la maternelle !

"Gender"

Je ne sais dans quel esprit mal allaité  a pu naître une telle absurdité, mais le ridicule fait la course à l'incongruité.

Après un projet de loi sur le mariage pour tous qui a clivé la France et mis à mal la cohésion nationale après avoir tripatouillé le point de coefficient familial qui est l’indice pour les familles du "calcul mode de garde " et autres frais de scolarité, quitte d'ailleurs à mettre à mal le seul voyant au vert qu’est la natalité.  

Voilà un assaut de plus. Avec cette nouvelle effraction de la pensée, il s’agit d’expliquer à des enfants de maternelle que si un petit garçon est né avec un zizi, il peut être dans sa tête une petite fille !

Faudra-t-il demain habiller les petits garçons en robe et les petites filles en pantalon pour limiter l’impact des vêtements sur la construction de leur être ? Et quelle sera l'étape suivante ?

Le poisson pourri par la tête, notre civilisation commence à sentir la mort !

Le livre d’un bref instant

Qui n’a jamais au cœur d’une gare TER ou lors d’un trajet en train entendu ces mots lâchés d’un haut parleur nasillard ou grésillant, « suite à un accident grave de voyageur ».
Pour celui qui est en transit cela signifie un retard de plus d’une heure mais qu'y a-t-il finalement derrière ces mots, peut-être bien autre chose.
C’est à ces vies perdues dans le dédale de nos indifférences que c’est attaché  Eric FOTTORINO, dans un petit opuscule de près de 60 pages.
Un livre non pour comprendre au fond, mais pour se questionner sur le sens de la vie.
Comment un beau matin, l’on peut se décider, si on décide quelque chose, de se jeter sous un train. Comment cette mère de famille, se leva, pris une douche, s’habilla, se maquilla, déposa ses enfants à l’école et une fois sur le quai de son métro capitula face à la vie sans risque de se rater ?
C’est bien ces parcours de vie qui sont abordés, mais aussi les cauchemars des conducteurs marqués à jamais, évoquant les flashs et leur sourire et ses yeux qui les fixent. Le sentiment d’inéluctabilité aussi et la culpabilité née de cette inefficience. Ne pas pouvoir éviter l'inévitable. La colère enfin des voyageurs qui vont manquer leur rendez-vous d'affaire, un examen, un moment entre amoureux!
Au travers de ses lignes, l’auteur dessine, pour un temps, un visage à ses morts par eux même qui marquent nos vies sans que nous les connaissions par ces simples sept mots « Suite à un accident grave de voyageur ».
"Suite à un accident grave de voyageur" est publié aux Editions Gallimard.
Disponible à la "Librairie de Paris", librairie indépendante à Saint-Etienne/ 8.20€

Une parenthèse de vie, un petit bout d'éternité!

Il y a parfois des nuits qui paraissent plus longues que d’autres. Plus l’heure avance plus la raison me presse à fermer les yeux et moins ceux-ci ne trouvent l’obscurité.

Au grès des pulsions compulsives sur la télécommande, l’ataraxie n’étant que de très loin inscrite dans mes gènes, je cherche sans le trouver un sommeil qui m’a abandonné.

Gagné par la bonté un journaliste dévoile dans un court reportage, une rencontre entre Grégoire, le chanteur, ici arrangeur et Sainte-Thérése.  « Thérèse vivre d’amour » servi par Natasha ST-Pier principalement.
À ces heures de la nuit point de lieux pour chiner le fruit de ce précieux et non moins curieux échange. Alors hâtivement, un site de téléchargement légal et 9.99 euros plus tard…Le miel de cette longue nuit.

Les textes de Thérèse, l’enfant entré au Carmel à quinze ans, morte à vingt-quatre et devenue Sainte et docteur de l’Église. Des textes d’amour à celui qui a rappelé son enfant après la souffrance de la tuberculose.

Les mots se livrent et se donnent « La fiancée » « jette des fleurs » et dit  « pourquoi elle aime Marie » un chant à « ses petits frères du ciel » et « La prière » avec la voix de Monseigneur Di Falco pour finir par « Mon chant d’aujourd’hui » et la voix mystérieuse et envoûtante de Michael Lonsdale.

De ce récit, c'est bien cette offrande qui est l’important. Les mots de cette enfant résonnent plein de sagesse à l’oreille de ceux, d’où qu’ils naissent, tant dans ses chants l’universalité des religions du livre se mêle et se recroise.

Entre le « dialogue des carmélites » de Georges Bernanos et le « Jésus était son nom » de Robert Hossein « Thérèse, Vivre d’amour » est un hymne à l’Amour agapé à découvrir et à écouter pour se nourrir d’un petit bout d’éternité.

Appel à la tempérance!


« Plus que jamais, le S.A.G.E porte bien son nom ! »
C’est un appel à la tempérance que lance Lionel Boucher, l’animateur de SAint-Etienne, Génération Envie, suite à l’annonce de candidature de l’UMP et aux diverses réactions.
« La candidature de Gaël PERDRIAU pour représenter son parti, l’UMP, lors des prochaines échéances municipales à Saint-Etienne, n’est en rien une surprise et elle constitue « une phase » du rapport qui s’exerce entre les familles politiques à douze mois d’une échéance importante que constituent les élections municipales.
Saint-Etienne est une ville importante sur la carte électorale nationale, c’est une commune de plus de 150 000 habitants et il est donc naturel que les familles politiques avancent leurs candidats avant les négociations. C’est le cas à Reims, à Caen à Toulouse…
Notre conviction au S.A.G.E est que l’union est la condition et le préambule à une victoire qui est aujourd’hui annoncée jusque dans les pages du journal « le Monde »
Notre vocation n’est pas d’être des commentateurs de la vie politique, mais bien de porter nos idées dans l’action au service de la cité. Pour cela il faut laisser le temps aux choses de se faire.
Le processus de désignation des candidats dans les grandes villes est connue de tous : il y a des commissions d’investitures au sein des familles politiques qui valident un chef de file par ville ; Puis dans le cadre de discutions au niveau national, entre partenaires est choisi celui ou celle qui est en mesure de l’emporter et il y aura dans la grande majorité des cas une investiture unique.
C’est avec cette certitude que nous pourrons préparer les échéances de 2014, mais bien au-delà puisque tous les exécutifs locaux sont à renouveler d’ici à 2017.
C’est pourquoi, il est important aujourd’hui de ne rien faire localement qui puisse nuire au fait que demain, nous soyons unis et réunis dans un large rassemblement de la droite, du centre et au-delà rejoins, et ils sont nombreux, par les déçus du socialisme en général et par l’équipe actuelle en particulier.
Saint-Etienne, Génération Envie, par la voix de Lionel Boucher, appelle donc à la sérénité et à ne rien faire qui pourrait nuire à l’union et à l’efficacité.
Le temps est à la préparation du projet, c’est aujourd’hui le quotidien du S.A.G.E, notamment à travers l’organisation de diner débat comme celui sur le thème de la culture à Saint-Etienne, ce jeudi 4 avril, qui affiche déjà complet.»


Communiqué de Lionel Boucher (SAint-Étienne, Génération Envie S.A.G.E),  en réaction à l'analyse du groupe "Europe Écologie Les Verts" , à propos de  l'attractivité du centre ville de Saint-Étienne et des projets du Pont de l'Ane . 

"J'ai du respect pour un certain nombre d'élus d 'Europe Écologie  Les Verts" , même si je regrette leur rapport d'asservissement au Parti Socialiste et leur confiscation de l'écologie politique. En revanche, je suis en désaccord fondamental sur l'analyse qu'ils font du renouveau de Saint-Étienne et qu'il ont exprimée dans les colonnes du quotidien Le Progrès, ce mercredi 27 février.

Si pour les Verts "rien ne presse" , pour le "SAGE" que je représente,  il y a urgence à finaliser ce projet du Pont de l'Ane et il n'est en rien en opposition avec l'activité commerciale du centre ville.

En fait, ce qui "tue" l'hyper centre de Saint-Etienne, c'est l'interdiction autoritaire et brutale d'accès, matérialisée par ces bornes qui refoulent les visiteurs en périphérie.
À l'heure où les villes comparables à la nôtre se structurent autrement, il est suicidaire d'avoir créé cette frontière infranchissable .

Le danger vient aussi de la paupérisation grandissante de notre ville, où contrairement à toutes les autres grandes  communes de Rhône Alpes, l'insalubrité est en son coeur. Contre cet état de fait, Monsieur Vincent ne lutte que peu. Il y voit probablement un intérêt électorale à cout terme. 

En effet, que ne fait-il pas pour faire revenir les familles avec enfants ? Que ne fait-il pas pour dynamiser , les samedis, le centre ville ? Que ne fait-il pas pour attirer les enseignes à forte valeur ajoutée qui deviendraient les locomotives indispensables ?

Qu'attendent les Verts et leurs alliés socialistes pour ouvrir les champs de la culture design dans notre grands rue ?

Voilà  des pistes de réflexion ... bien loin de ces propositions qui vont  étouffer  plus encore le rythme de la ville avec par exemple, la création d'une zone 30. 

Voilà la différence fondamentale entre Maurice Vincent, les Verts et nous : ils veulent mettre la ville "au ralenti" là où nous voulons la faire bouillonner d'activités ..."!

Benoit XVI:"Je ne m'éloigne pas de la croix."


Mercredi 27 février, Ultime audience générale du Pape Benoît XVI. 

À l'heure de son passage de relais il témoigne encore et toujours de son amour pour l'église et confirme :"Je ne m'éloigne pas de la croix."


Message formidable d'un Pape aux Chrétiens du monde entier. 
Par son renoncement, il prépare les conditions du renouvèlement de l'Eglise et rassemble au delà des clivages de la communauté humaine de l'Eglise.

Ce Pape restera comme Jean Paul II un visage marquant de l'Eglise universelle.

Stéphane Hessel est mort.


Avec sa disparition au bel âge de 95 ans, c'est la fin d'une certaine idée du monde qui s'éteint et une page de la France d'après guerre qui se tourne.
Stéphane Hessel nous donna un éclairage, sa vision de l'indignation qu'il a su faire partager dans une société en mutation permanente.
Je salue la mémoire de ce résistant et homme d'engagement volontaire. 

le S.A.G.E pour une primaire ouverte

Dans un peu plus de 15 jours, nous entrerons dans les 12 mois précédant les échéances municipales. C’est encore loin, pour les citoyens, mais proche pour les responsables politiques. En effet, cela signifie que toutes les dépenses  conduisant à l’élection ou à faire connaître un candidat peuvent être imputables au compte de campagne qui pourra donc être ouvert dès ce moment là en déclarant soit une association de financement , soit un mandataire financier.

Saint Etienne Génération Envie, le SAGE que j'anime  appelle donc à la plus grande vigilance ceux et celles qui envisagent l’aventure municipale.

De plus, le chemin de l’union se dessinant à Saint-Etienne, notre club suggère de reproduire le schéma proposé par l’UMP à Paris  : mettre en place une primaire ouverte à tous les Stéphanois inscrits sur les listes électorales.

Cette primaire devrait se dérouler, comme dans la capitale «entre la mi-avril et la mi-mai», sous forme de vote électronique «ultrasécurisé». Chaque électeur devra s'acquitter de 2 euros pour contribuer au financement de ces élections et il pourrait être demandé un engagement sur l’honneur de défendre les valeurs du centre et de la droite.

Le SAGE va envoyer une lettre à toutes les composantes de la droite et du centre afin de leur faire partager cette volonté de désignation par les citoyens , de celle ou de celui celui qui aura la lourde charge de conduire l'équipe qui se présentera aux suffrages des Stéphanois .

L'Histoire d'un Pape et de l'Eglise

11 février 2013, Décision historique au Vatican.
Benoit XVI (né Joseph Alois Ratzinger) dans sa 86ième année, restera dans l’histoire comme le cinquième Pape renonçant à sa charge.
Une décision qui va peser sur le prochain conclave et l’élection du futur berger des deux milliards de chrétiens dans le monde.
A la grâce de Dieu et que l’Esprit Saint guide les cardinaux dans leurs choix !

Nostalgie de la contredanse humaine...

Même pour payer les amendes, plus besoin de l'homme. L'audiotel remplace la standardiste, l'ordinateur l'agent du trésor.

J'ai l'âme de Philippe Solers pour d'écrire le plaisir de la découverte de l'imprimé vert. De ce papillon, qui, par un beau jour de printemps, il n'y en a pas quand il fait froid, apporte une touche de couleur qui vient se glisser sous votre essuie glace. Une fraction de seconde l’on espère un billet doux d’une belle inconnue, une missive parfumée de cet extrait envoutant décelé un peu plus tôt dans l’ascenseur du parking ; puis la vint la triste réalité, la désillusion, c’est un PV.

Aujourd’hui, toujours vert est l'imprimé mais plus de trace de cette écriture hésitante qui laissait à penser que peut-être se sera glissée une erreur dans le relevé de la plaque d'immatriculation, que j'aurai pu contester.

Fini la main trop humaine et faillible, l’ordinateur guide l'homme, l'ordinateur transmettra en temps réel à la machine qui remplira les cases, affranchira  et fera que dès le sur lendemain l'avis de contravention couleur saumon sera en bonne place au milieu des publicités dans votre boite aux lettres. 

Le seul humain que vous croiserez dans cette peine, c’est votre facteur, qui dans sa verve habituel vous lancera " l'état a besoin de vos sous !" Et oui, le seul homme à s'intéresser à ma dépense c’est mon facteur;

Cette même amende forfaitaire que je vais régler, en deux clics et vite, très vite, avant qu’elle ne soit majorée, via "amende.gouv.fr". 

Vu le prix du fruit de mon forfait, cette fois c'est sûr, je me mets au vélo...

Ouvrir le champs des possibles...





Extrait de mon intervention lors des voeux de Gilles ARTIGUES, le 25 janvier 2103, devant 320 personnes réunies au 917 à Saint-Etienne.

Contre "un projet de loi" pas contre des "êtres"


Si on ne choisit pas sa famille, on choisit ses amis! Je ne choisis pas les miens en fonction de leur orientation sexuelle et je ne reconnais à personne le droit de décerner les brevets de "gay friendly".

Dimanche dernier, nous étions entre 800 000 et 1 million, dont plus de 1000 ligériens, au cœur de la Manif Pour Tous, une mobilisation contre "un projet de loi" et non contre des "êtres", contre un texte que je considère comme mettant en cause la notion même de la famille. 


Oui, il est nécessaire de faire évoluer les lois pour arriver à une égalité de droits et de traitements pour tous. Je conçois une "union libre" entre des personnes de même sexe protégeant à la fois les enfants et les tenants de situations particulières, mais nul n’est besoin pour cela de changer les normes et de bousculer notre modèle de société qui fait sens, celui qui fonde notre socle commun. 

Avec force , rappelons que l'enfant nait de l'union et de la rencontre entre un homme et une femme, ce sont là les lois naturelles.

Jamais depuis 1984 et la remise en cause de l’école libre, déjà par un gouvernement socialiste, notre pays n’avait vu des hommes, des femmes, des familles et des gays marcher sur Paris, non pour un gain, mais bien pour la défense d’un principe.

C'est en cela que je me joins :
- à ceux qui ne reconnaissent pas compétence à l’Assemblée nationale de bouleverser ainsi les fondamentaux de la famille,
- à ceux qui demandent des Etats généraux sur le mariage, la filiation, les droits de l’enfant pour que vive un débat digne de notre démocratie.
- enfin, à ceux qui réclament un référendum afin de consulter les Français sur un nouveau projet de loi qui ne bouleversera pas, comme celui qui nous préoccupe, l’ordonnancement du code civil et les repères fondamentaux de la sexuation et de la filiation.

Au regard des mots dédaigneux de madame Taubira et du silence du Président de la République, je pense que nous ne pourrons faire l’économie d’une nouvelle mobilisation.